Le championnat américain de basket-ball féminin en pleine effervescence
Le championnat américain de basket-ball féminin, actuellement en pleine phase de playoffs, continue de susciter l’enthousiasme au terme d’une saison record. Stars Who Rock Prodigy Caitlin Clark n’a pas déçu ! Premier de la draft 2024, annoncé comme la star absolue de la prochaine décennie, titulaire d’un contrat de huit ans à 25 millions d’euros avec Nike, le joueur d’Indiana Fever (22 ans) a battu deux records historiques en saison régulière : nombre total de passes (337) et nombre de passes dans un match (19). Les statistiques de son premier entraînement sont époustouflantes : 19 points, 5 rebonds, 8 passes décisives par match. Logiquement, elle a été nommée recrue de l’année et méprisait les haineux qui la maltraitaient au cours des premiers mois. Une autre nouvelle a fait la percée : le défenseur central Angel Reese (Chicago Sky), 13,1 rebonds par match et 26 double-doubles. Mais le titre de MVP revient – à l’unanimité des 67 votants – à A’ja Wilson, mégastar des Las Vegas Aces. Le double champion olympique (28 ans), déjà MVP des JO, est récompensé pour la troisième fois grâce à des statistiques légendaires : 1.021 points, 451 rebonds, 98 contres. Elle est la première à atteindre les 1 000 points dans une campagne (moyenne 26,9 points). Caitlin Clark pose avec Simone Biles (à droite). (Missy Zielinski/NBA via Getty Images) Même Simone Biles adore ça ! Les images ont inondé les réseaux sociaux. La récente conversion de la WNBA, sept fois médaillée d’or en gymnastique et star des Jeux olympiques de Paris, suit de près les réalisations de Caitlin Clark. Elle l’a publiquement soutenue et a insisté pour assister à l’une de ses représentations à Indianapolis fin août. L’ensemble du groupe a demandé un selfie et la salle a fait une ovation tonitruante. Simone Biles (à droite) a alors écrit sur X : « Tout le monde regarde le sport féminin, je suis vraiment contente du soutien ! » » Étaient également présents ce même soir Gabby Thomas, championne olympique du 200 m en 2024, et la grande star de la télévision David Letterman. La WNBA a également trouvé son audience parmi les hommes : le nombre total de téléspectateurs masculins a en effet augmenté de 180 %. (Grace Smith/USA Today Sports) Audience maximale d’ESPN : +170 %. ION Télévision : +180%. Un All-Star Game qui a captivé 3,4 millions de fans (record précédent : 1,4 million)… Les diffuseurs de la WNBA n’en reviennent pas. En 2024, les audiences ont atteint des sommets totalement irréalistes. Le nombre total de téléspectateurs masculins a même augmenté de 180 %. Le 16 juin, 2,25 millions de personnes ont regardé le match entre l’Indiana et Chicago, un nombre record depuis 2001. L’effet Caitlin Clark promettait une certaine excitation, mais jamais à cette échelle. Le club de la nouvelle icône a accueilli en moyenne 16 084 spectateurs dans sa salle. De plus, l’Indiana Fever a compilé 32 des 37 matchs avec plus de 16 000 sièges vendus, soit un triplement de la fréquentation par rapport à 2023. Ces chiffres vont certainement augmenter d’ici la finale de la WNBA (10-20 octobre). Grâce à ce grand engouement, le prix moyen d’un billet WNBA est passé de 55 à 98 euros en un an.
La montée en puissance de Caitlin Clark
Caitlin Clark, la nouvelle sensation de la WNBA, a su conquérir le cœur des fans et des critiques avec ses performances exceptionnelles sur le terrain. En tant que première de la draft 2024, elle a rapidement confirmé les attentes placées en
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