L'entraîneur villeurbannais a félicité ses joueurs pour être sortis du trou dans lequel les Parisiens les avaient mis (7:27, 9e) et pour être revenus en position de force en demi-finale (2-1) face à Betclic Élite. . Pierric Poupet (entraîneur de l'Asvel après la victoire contre Paris, 86-75) : « Ce n'est pas la première fois qu'on revient de gros écarts comme ce (mardi) soir (7-27, 9e). » habitude. Il est important d’éviter de répéter cela car cela ne se passera pas forcément de la même manière la prochaine fois. Il faut ensuite féliciter les joueurs pour leur caractère. Tout le monde a vu le match parisien (27 points), mais Charles (Kahudi, 10 points) s'est également fait remarquer, tout comme Joffrey (Lauvergne, 8 points, 6 rebonds), Mbaye (Ndiaye, 10 points, 7 rebonds) ou encore Nando (De Colo) pour son retour (6 points, 4 fautes, 3 passes décisives en 10 minutes). Peut-être que les douleurs passées de cette saison permettront à ce groupe, même avec un pied sur terre, de garder la tête haute. Sinon, ils veulent juste avancer et vivre ensemble. Et pour y parvenir, nous devons continuer à gagner des matchs. » « Si vous avez déjà atteint vos objectifs, quelles raisons vous poussent à vouloir remporter un autre trophée ? » Tuomas Iisalo, entraîneur parisien. Tuomas Iisalo (entraîneur de Paris) : « Nous avons fait du bon travail dans le premier quart-temps et en première mi-temps, notamment en défense et au rebond. Souvent, l'Asvel ne parvenait même pas à pénétrer dans l'arche. Puis Villeurbanne a réussi à ralentir le rythme, il y a eu beaucoup d'erreurs, on a perdu le contrôle dans les cercles (21-31 dans les trois derniers quart-temps sur le rebond en faveur de l'Asvel) et le niveau de base de notre exécution n'était tout simplement pas là. à un niveau suffisant. On fait trop d'erreurs et il faut féliciter l'Asvel de les avoir commises. Bien sûr, les fautes de Léon Scratch ont influencé notre jeu. Il n'a tout simplement pas pu jouer (10 minutes, 5 fautes). Cependant, il est notre leader défensif, indispensable dans notre système car il ouvre également beaucoup d'espace pour TJ Shorts. Cela nous a obligé à jouer plus petit. Il y a toujours un aspect mental dans les jeux, mais sinon il s'agit plutôt de contrôler nos émotions. Après avoir connu tant de succès et de « moments forts » cette saison – remporter la Leaders Cup, l’Eurocup – le défi émotionnel devient de plus en plus grand à mesure que la saison avance. Si vous avez déjà atteint vos objectifs, quelles raisons vous poussent à vouloir remporter un autre trophée ? C'est une question que je me pose souvent. Je suis sûr que nous avons cela en nous et que nous trouverons les moyens de le montrer lors du prochain match. »
Leave a comment