Les salariés de l’usine Alpine de Formule 1 de Viry-Châtillon ont eu des discussions constructives avec la direction de Renault
A l’issue d’une réunion avec Luca de Meo, directeur général du groupe Renault, les salariés de Viry-Châtillon, l’usine de moteurs de l’écurie Alpine de Formule 1, ont fait état de « discussions constructives », même si le risque d’une fermeture imminente reste réel. Une rencontre attendue qui marque une première étape entre la direction du groupe Renault, avec aux commandes son directeur général Luca de Meo, et les salariés de l’usine de Viry-Châtillon, dont la mission est notamment de produire les moteurs du groupe Renault pour équiper l’équipe Alpine en Formule 1. Fin juillet, la fin prochaine de cette usine, en activité depuis 1977, et la première implication de Renault en Formule 1 a été annoncée, avec la perspective d’équiper Alpine d’un moteur client (Mercedes a a priori) à partir de 2025 ou 2026. Après la réunion de vendredi, les représentants du personnel ont fait état de « discussions constructives » dans un communiqué. « A l’issue de l’entretien avec M. De Meo, poursuit la publication, les représentants du staff d’Alpine Racing tiennent à remercier la direction du Groupe Renault pour l’opportunité d’échanges qui leur est offerte et les discussions de qualité lors de cet entretien. Les efforts et propositions concrètes de la délégation de Viry-Châtillon semblent avoir trouvé grâce auprès de la direction, qui poursuit ses réflexions sur le maintien des activités de F1 sur le site français. Pas de décision définitive sur l’avenir de l’usine. Parmi ces efforts et suggestions figurait l’idée de poursuivre avec Viry, sous réserve de résultats sportifs dans les années à venir. L’idée selon laquelle un constructeur de cette taille devait produire son propre moteur pour réellement gagner en compétition est également revenue. Bien qu’ils se sentent écoutés, les représentants du personnel sont conscients de la situation et des faibles chances de poursuivre l’activité, même si la décision n’est pas encore définitive. « Le risque de perdre un savoir-faire unique demeure, au moment même où l’industrie en France a besoin de soutenir ses talents. » Les représentants des salariés de Viry-Châtillon ont déclaré dans un communiqué : « On dirait qu’ils conduisent », poursuit-elle dans la presse. communiqué Si le risque d’un arrêt du développement des moteurs de Formule 1 en France demeure, le risque de perdre un savoir-faire unique demeure, à l’heure où l’industrie française valorise ses talents et doit consolider son réseau de coopération nationale. Les élus se disent toujours « mobilisés, déterminés et à l’écoute des salariés » et préparent de nouvelles mesures, qu’ils commenteront dans les prochains jours. Avec les arguments avancés, l’usine de Viry aura désormais besoin de soutiens publics et politiques pour faire entendre sa voix au plus haut niveau du groupe Renault et espérer un retournement de situation.
Des discussions constructives entre les salariés de l’usine Alpine de Formule 1 et la direction de Renault
Les salariés de l’usine Alpine de Formule 1 de Viry-Châtillon ont récemment eu des discussions constructives avec la direction de Renault, marquant ainsi une première étape dans les négociations concernant l’avenir de l’usine. Malgré le risque toujours présent d’une fermeture imminente, les représentants du personnel ont exprimé leur satisfaction quant à la qualité des échanges et des discussions lors de la réunion avec Luca de Meo, directeur général du groupe Renault. Les efforts et propositions concrètes de la délégation de Viry-Châtillon semblent avoir été bien accueillis par la direction, qui continue de réfléchir au maintien des activités de F1 sur le site français. Cepend
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